Blues, la musique n’est pas réservée aux gens triste.

Le blues est décrit comme une musique pour les gens tristes. Pourtant, c’est un genre qui séduira aussi bien les mélancoliques que les amateurs de sons acérés.

C’est lui qui a donné naissance au rock and roll, à partir duquel ont ensuite émergé les tendances musicales ultérieures. Le 16 septembre est la Journée internationale du blues – il vaut donc la peine de connaître les faits les plus importants liés à ce genre.

Lorsque le blues a été créé, presque tout a changé dans la musique. Ce fut le début d’une nouvelle ère dans l’histoire de la musique pop mondiale, qui influença bientôt toute la culture de masse. Bien que les variétés ultérieures de blues aient eu la plus grande part, même ses premières branches ont largement déterminé la vie sociale des Américains. Sans le blues, il n’y aurait pas beaucoup d’autres genres musicaux, le rock and roll en faisant partie. Malgré son ton pessimiste, il a acquis une énorme popularité, devenant l’une des tendances les plus importantes de la musique pop. Le blues est souvent appelé le folklore des musiciens afro-américains. Cela est lié à ses origines, puisqu’il provient des États du sud des États-Unis, appelés le « Sud profond ». Le nom lui-même (anglais : tristesse, désespoir) fait référence à sa forme nostalgique – tant dans les couches instrumentales que lyriques. Les thèmes des chansons de blues concernent principalement les sentiments et les émotions (solitude, amour, jalousie, fidélité), ainsi que les relations hommes-femmes. Les musiciens de blues chantent aussi souvent sur le voyage, le travail et la liberté. Ils soulèvent volontiers des questions d’inégalité raciale et critiquent le gouvernement et les attitudes sociales contraires à l’éthique.