La neurobiologie de l’amour
L’étude du sentiment amoureux est complexe et, de fait, encore imparfaite. Les ponts franchis de l’animal vers l’homme suggèrent que ce système est hautement conservé dans l’évolution des espèces. Actuellement la composante passionnelle est attribuée de façon plus spécifique à l’espèce humaine, mais elle est moins bien étudiée chez l’animal pour des raisons compréhensibles. Il semble exister un état de complétude en amour intriquant plusieurs systèmes à l’origine des comportements d’excitation









